Avons-nous perdu la Belgique?
L’histoire de nos forêts disparues et ce que nous pouvons faire à ce sujet
Chaque année, notre planète perd une zone forestière de la taille de la Belgique. Cela a des conséquences dévastatrices car les forêts font partie intégrante du bien-être de notre planète. Les forêts régulent les écosystèmes, protègent la biodiversité, font partie intégrante du cycle du carbone, soutiennent les moyens de subsistance et peuvent contribuer à une croissance durable. Lorsque les forêts sont perdues et dégradées, nous observons des effets très différents: émissions de gaz à effet de serre, moins de chances de séquestrer le carbone, problèmes de développement, difficulté à conserver les écosystèmes et peut-être surtout le changement climatique. Ces effets ne sont en aucun cas isolés. Ici, au Luxembourg, les jeunes sont récemment descendus dans la rue, conscients de l’impact probable du changement climatique sur leur avenir.
La gravité de ces problèmes signifie qu’un effort uni est nécessaire pour endiguer le problème. Il n’est pas possible de lutter contre la déforestation par le biais d’initiatives publiques uniquement. Nous devons tous nous engager à changer la situation actuelle. Comme l’a signalé le WWF, ce sont les forêts en activité qui ont le plus de chances de résister aux changements climatiques.
Cette conférence a exploré l’impact de «la Belgique disparue» et a examiné les projets qui contribuent à la restauration des forêts en Amérique centrale.
Nous tenons à remercier tous les participants, en particulier:
- SE Pierre Gramegna, Ministre des Finances
- M. Rudi Belli, Senior Vice President, Secrétaire Général, Spuerkeess
- Professor Dr. Ravi Fernando, Global Strategic Corporate Sustainability (pvt) Ltd
- M. Kaspar Wansleben, Investing for Development SICAV
- Mme. Apricot Wilson, Investing for Development SICAV
- Toute l’équipe de la Spuerkeess
MERCI!